À André Falconet, le 31 janvier 1659
Note [1]
La cour : « Babylone est prise dans l’Écriture pour un lieu de désordre et de crime [v. notule {a}, note [28] du Borboniana 9 manuscrit]. C’est de-là que nous disons aussi en français dans le même sens, c’est une Babylone, pour dire, en général, un lieu plein de trouble, de désordre, de débauches, de crimes, de confusion » (Trévoux).