À Hugues II de Salins, le 25 avril 1659
Note [4]
« Pour le foie de loup », L’Encyclopédie :
« Les paysans et les chasseurs qui prennent des loups ne manquent point d’en conserver le foie qu’ils font sécher au four, ou de le vendre à quelque apothicaire. C’est une drogue qui se trouve communément dans les boutiques ; elle est vantée contre les hydropisies {a} qui dépendent d’un vice de ce viscère. On la donne en poudre à la dose d’un gros. C’est un remède peu éprouvé. »