« Le trait mortel reste fiché dans son flanc » (Virgile, v. note [46], lettre 222).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 7 octobre 1659, note 3.