Ce passage est un touchant témoignage de la lucidité que Guy Patin pouvait avoir sur l’excès de ses propres pratiques.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 28 octobre 1659, note 3.