À André Falconet, le 28 octobre 1659
Note [7]
Ce paragraphe abordait un sujet délicat – les religieux catholiques qui défroquaient pour adopter le protestantisme – déjà évoqué à propos d’un autre cordelier, le P. Cottereau, dans la lettre à Spon du 27 juin précédent. Guy Patin y incriminait surtout les vœux de célibat, d’abstinence et de chasteté. On n’a jamais cessé d’en débattre jusqu’à ce jour (2021).