« Vale et aimez-moi. Vôtre de tout cœur, Guy Patin. »
V. notes :
[9], lettre 557, pour le Manuale seu Speculum medicinæ practicum [Manuel ou Miroir pratique de médecine] de Melchior Sebizius (Strasbourg, 1661), que Guy Patin désespérait de voir lui arriver ;
[11], lettre 541, pour le recueil des thèses théologiques protestantes de Sedan ;
[8], lettre 749, pour les Opera omnia de Jérôme Cardan.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 1er mars 1660, note 5.