Noël Falconet, fils d’André, allait disputer en août sa maîtrise ès arts. Guy Patin, son mentor parisien, l’initiait déjà avec ardeur aux études de médecine qui allaient suivre. V. notes :
[9], lettre 22, pour les « Abrégés de toute la médecine » de Jean i Riolan, le père (Paris, 1598) ;
[37], lettre 514, pour le « Manuel [anatomique et pathologique] » de Jean ii Riolan, le fils (réédition de Paris, 1658).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 9 avril 1660, note 1.