À Hugues II de Salins, le 15 avril 1660
Note [10]
« parce qu’il est digestif et expectorant ; c’est pourquoi il est plus puissant que tout sirop béchique, {a} surtout s’il n’y a aucune intempérie chaude sous-jacente, dans le foie ou dans le cœur. Ceux qui souffrent d’asthme doivent se garder de toute pléthore ; c’est pourquoi ils doivent se faire saigner au printemps et à l’automne pour se prémunir contre un tel mal. »