« par leurs poisons métalliques, pour tromper les imprudents sous prétexte de nouveauté ? Ô trafic exécrable, ô crime horrible, mais à quoi bon s’en plaindre ! »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 20 avril 1660, note 9.