À André Falconet, le 20 août 1660
Note [12]
« mais c’est en vain que je fais ce vœu ou ce souhait, je ne suis pas maître de mon temps ».
Pour aller de Lyon à Paris, on pouvait soit descendre la Loire (de Roanne à Orléans), soit remonter la Saône (de Lyon à Chalon) puis la Loire (de Nevers à Orléans). Au lieu de débarquer à Orléans, on pouvait aller jusqu’à Montargis par le canal de Briare (v. note [32], lettre 307). D’après sa correspondance, Guy Patin n’est jamais allé à Lyon de sa vie.