À Charles Spon, le 7 janvier 1661
Note [38]
« Mais j’en finis, ce récit-là me semble en effet n’être rien d’autre qu’un rêve. Vive, vale et aimez-moi. Vôtre de tout cœur, Guy Patin. »
V. notes [1], lettre 697, pour Fasilidas, empereur des Abyssins (négus d’Éthiopie), et [8], lettre 374, pour Abbas ii, shah de Perse.