À André Falconet, le 25 janvier 1661
Note [3]
« dont je crois donc qu’il va s’en aller rejoindre les morts, {a} parce que, outre la gravité de la maladie qui l’y pousse, le voilà aux mains de médecins peu clairvoyants ; mais les gens de cour naissent, vivent et meurent pour ce destin : ils prennent et sont pris, ils trompent et sont trompés. »