À André Falconet, le 1er mars 1661
Note [6]
Première mention d’un fils aîné d’André Falconet, de prénom inconnu. Durant le mois de mars 1661, deux lettres de Guy Patin et une lettre de Falconet parlent de sa guérison. Le jeune homme dut cependant mourir car à partir de 1666 (v. note [7], lettre 882), le titre d’aîné a désigné son frère puîné, Noël, le futur médecin, qui étudiait alors à Paris auprès de Patin.