À André Falconet, le 7 mars 1661
Note [2]
Note de Reveillé-Parise :
« Ce furent sans doute ces bruits, ces rumeurs populaires qui produisirent ce déluge d’épigrammes, de satires, d’épitaphes injurieuses qui eut lieu après la mort de Mazarin. De tant de vers qui existèrent, on ne connaît < plus > guère que les suivants :“ Jules, voyant Satan tout auprès de sa couche
Épier sa pauvre âme au sortir de sa bouche,
Conçut pour l’attraper un cauteleux dessein :
Plus fin qu’un diable même, à son heure dernière,
Le rusé cardinal demanda le bassin,
Et rendit dextrement son âme par le derrière. ” »