« Jules a enfin été enterré ; c’est une chose étonnante que parmi tant de bourreaux un voleur ait pu avoir du mal à mourir » (v. note [8], lettre 684).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 15 avril 1661, note 22.