Pour accéder à la licence de médecine, les bacheliers de Reims n’avaient que deux thèses à soutenir (une quodlibétaire et une cardinale), au lieu de trois à Paris (deux quodlibétaires et une cardinale).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 27 mai 1661, note 6.