À Nicolas Belin, le 13 mai 1662
Note [6]
À côté de la date, dans la marge, une plume, qui pourrait être celle de Guy Patin, a écrit « Je ne puis », sans doute le début d’un post-scriptum inachevé. Cette lettre clôt la correspondance connue de Guy Patin avec les Belin (183 lettres).