À André Falconet, le 30 mai 1664
Note [15]
« Dieu fasse qu’alors on soulagera le pauvre, ou plutôt le très misérable peuple de tant d’impôts, de tant de peines, lui qui est opprimé depuis tant d’années par les agissements injustes des tyrans et des publicains. » V. note [33], lettre 514, pour Mathieu Garnier, richissime trésorier des parties casuelles.