À André Falconet, le 14 novembre 1664
Note [10]
Guy Patin a plusieurs fois évoqué le procès qui opposait alors les libraires lyonnais Horace Boissat et Laurent Anisson. Avec ses entrées au Parlement, Patin soutenait Anisson en espérant sans doute le voir, en récompense, imprimer enfin ses Chrestomathies de Caspar Hofmann (v. note [7], lettre 801). Il s’agissait apparemment d’un différend sur l’édition des Opera omnia du P. Théophile Raynaud (v. note [6], lettre 736).