À André Falconet, le 18 août 1665
Note [5]
« Mangé des vers [skôlêkobrôtos], rongé et saigné par la vermine, consumé par la phtiriase » ; Actes des Apôtres (12:20‑23, sur la mort d’Hérode, le persécuteur) :
« l’Ange du Seigneur le frappa parce qu’il n’avait pas rendu gloire à Dieu, et rongé de vers, {a} il rendit l’âme. »
- Vulgate : consumptus a vermibus.