À André Falconet, le 22 décembre 1665
Note [2]
« Le chevalier toscan {a} sourit à l’infortuné et écarta la méchante indigence, à qui il commanda de fuir aussitôt » : Martial {b} chante le malheur du jeune Virgile, qu’il surnomme Tityre, qui pleure la perte du troupeau qu’on lui a ravi ; Mécène le console alors et le sort de la misère, lui disant,
Accipe divitias et vatum maximus esto.[Accepte mes richesses, et sois le plus grand des poètes].