À André Falconet, le 13 avril 1666
Note [1]
Guy Patin a reparlé plus loin du remariage des veufs : v. note [6], lettre 906, où il est question des épouses successives de Théodore de Bèze, dont la dernière (deuxième ou troisième) avait une fille, que son beau-père semblait avoir fort cajolée (en interprétant les dires d’Étienne Pasquier) ; autrement dit, un vieil homme lubrique a besoin de deux femmes, une pour le foyer et une pour la fredaine. Mon interprétation est néanmoins sujette à caution.