À André Falconet, le 2 septembre 1667
Note [9]
« Croyez-vous qu’en aient cure les cendres ou les mânes des disparus ? » (Virgile, Énéide, chant iv, vers 34). Je n’ai pas trouvé de Vie d’Érasme, latine ou française, imprimée à cette époque ; au nom de Rome, jésuites et dominicains se sont acharnés contre les écrits de ce très grand humaniste, peu farouche envers les idées de la Réforme (v. note [5], lettre 308, pour ce qu’en a écrit le R.P. Théophile Raynaud).