À André Falconet, le 7 mars 1668

Note [11]

La suite de la lettre, où Guy Patin retrouvait son ton ordinaire, montre qu’il était inquiet et décontenancé, mais non pas abattu : sans doute croyait-il alors que ses relations haut placées au Parlement aideraient son cher Carolus à se tirer d’affaire.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 7 mars 1668, note 11.

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(Consulté le 03/05/2024)

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