À André Falconet, le 4 août 1668
Note [4]
Avec les évêques d’Angers (Henri Arnauld), d’Alet (Nicolas Pavillon) et de Pamiers (François-Étienne de Caulet), celui de Beauvais (Nicolas Choart de Buzenval, v. note [20], lettre 334) était alors l’un des quatre prélats français que Rome poursuivait en raison de leur ferme soutien à la cause des jansénistes (refus du Formulaire, v. note [1], lettre 945). Choart de Buzenval fut l’un des artisans de la paix de l’Église, compromis qui mit temporairement fin, en octobre 1668 (v. note [1], lettre 945), aux longues persécutions endurées par Port-Royal.