À Johann Caspar I Bauhin, le 9 septembre 1638
Note [12]
Pour essayer de donner une cohérence à la phrase latine, de Bibliotheca cujusdam medicæ parat nescio quid, j’y ai remplacé medicæ [femme médecin] par medicinæ [médecine] ; mais sans pour autant parvenir à lui trouver un sens qui corresponde à un projet identifié : la publication, alors fort lointaine (Lyon, 1650), de la Medicina practica [Médecine pratique] de François Feynes (v. note [12], lettre 252), tirée de la bibliothèque de René Moreau, ne me semble pas apporter une solution plausible à l’énigme.