À Johann Caspar I Bauhin, le 20 septembre 1647
Note [4]
« méditant sur l’extrême brièveté de la vie » : Vitæ summa brevis, spem nos vetat inchoare longam [L’extrême brièveté de la vie nous interdit les longues espérances] (Horace, v. note [12], lettre 98).