À Johann Georg Volckamer, le 24 décembre 1649
Note [4]
« sur le traitement de la syphilis par le mercure, remède qui est à tenir pour sûr et excellent » ; v. note [1], lettre 157, pour cette seconde quodlibétaire (et dernière des trois thèses) de Robert Patin, alors bachelier de médecine.
Guy Patin allait ensuite projeter le cursus de Robert : son examen « particulier » (particulare, v. note [13], lettre 155), que son père appelait ici « pratique » (practicum), ses diplômes de licence, de doctorat et de régence ; et surtout un grand voyage en Europe centrale, pour s’ouvrir l’esprit, comme faisaient alors de nombreux jeunes médecins, mais Robert ne l’entreprit jamais que dans les rêves de son père.