À Nicolaas Heinsius, le 14 juillet 1651
Note [2]
V. note [14], lettre 236, pour Cl. Claudian Quæ exstant [Ce qui existe de Claudien] édité par Nicolaas Heinsius (Leyde, 1650), avec épître dédicatoire en vers latins Maximæ et Augustæ Principi Christinæ Suecorum, Gothorum, Vandalorum, etc. Reginæ [à la très grande et auguste princesse Christine, reine des Suédois, des Goths, des Vandales (v. notule {a}, note [29], lettre 401), etc.] (à qui Heinsius, depuis 1649, enseignait le grec, et pour laquelle il parcourait l’Europe à la recherche de livres rares et de manuscrits).
La précédente lettre de Guy Patin à Heinsius n’a pas laissé de trace.