À un médecin anonyme, sans date
Note [4]
Ce qui suit n’est pas un post-scriptum, mais un billet rédigé en français par un M. Jacques Duperoy, malade, à l’intention de Guy Patin, qui en a utilisé le verso pour écrire le brouillon de sa lettre.
Avec beaucoup d’imagination, l’allusion aux veines et aux cuisses peut mener à penser que le malade était en proie à une crise hémorroïdaire (v. note [11], lettre 253).