À Johannes Antonides Vander Linden, le 3 juin 1657
Note [18]
Du pape et de la curie pontificale (v. note [8] du Borboniana 1 manuscrit) : s’adressant à un correspondant calviniste, Guy Patin donnait libre cours à ses extravagances gallicanes.
C’est la seule fois où Guy Patin a employé le mot « satrape » (satrapes), en le prenant au sens général et péjoratif de despote.