À Johannes Antonides Vander Linden, le 22 novembre 1658
Note [14]
V. note [5], lettre 542, pour ce voyage qu’on a surnommé « comédie de Lyon », avec feinte diplomatique de fiançailles entre le roi et sa cousine, la princesse Marguerite de Savoie.
Dans sa phrase précédente, Guy Patin a curieusement mis dans le même sac les romans, qu’il méprisait, et les ouvrages théologiques, qu’il lisait très volontiers, en y mêlant en outre jésuites et moines (soumis à l’autorité de Rome) à la Sorbonne (réputée majoritairement gallicane).