À Johannes Antonides Vander Linden, le 14 février 1659
Note [4]
« Trois Centuries d’observations médicales de Johannes Rhodius [v. note [1], lettre 205] (Padoue, 1657, Paolo Frambotti, avec permission des autorités supérieures, in‑8o) », réédition à Francfort, Laurentius Sigismundus Cörnerus, 1676, in‑8o.
Johannes Antonides Vander Linden a inséré cette référence (page 397) et celle de Petrus a Castro (page 521) à la 3e édition de ses de Scriptis medicis (Amsterdam, 1662) ; mais non celle d’Ovidio Montalbani, alias Johannes Antonius Bumaldus, sans doute parce qu’il s’agissait d’un ouvrage de botanique et non de médecine.