Note [2]
« car les traces qu’il laisse m’épouvantent » : paroles du renard rusé au lion malade dans Horace (v. note [11], lettre 782).
Quoique probablement imaginé par Guy Patin, ce propos de la reine (traduit du latin manuscrit et mis entre guillemets) reflète la vérité : en mai-juin 1663, Anne d’Autriche ne se résolut à prendre l’antimoine qu’après l’avoir longtemps refusé (v. note [20], lettre 748).