À Johannes Antonides Vander Linden, le 1er novembre 1663
Note [2]
« il est grand d’être loué par un homme digne de louange » ; emprunt à Cicéron (Tusculanes, livre iv, chapitre xxxi), citant l’Hector proficiscens [Le Départ d’Hector], tragédie de Nævius, dramaturge romain du iiie s. av. J.‑C. :
Lætus sum laudari me abs te, pater, a laudato viro
[Je suis heureux, mon père, d’être loué par un homme louable tel que toi].
V. note [5], lettre latine 263, pour l’Oratio funebris [Oraison funèbre] d’Adolf Vorst par Johannes Antonides Vander Linden (Leyde, 1664).