À Reiner von Neuhaus, le 26 juin 1664
Note [6]
En franc gallican, Guy Patin saluait le retour à la déférence de Rome envers la Couronne de France, que l’affaire des gardes corses avait un moment mise à mal ; mais son allusion à d’autres, qui s’étaient excusés de fautes plus vénielles, ne m’a pas paru transparente.