À Vopiscus Fortunatus Plempius, le 4 septembre 1664
Note [1]
« car je ne laisserai pas en héritage à la vieillesse un corps délabré par les fautes de jeunesse » ; adaptation de Cicéron (De la Vieillesse, chapitre ix) :
Libidinosa enim et intemperans adulescentia effœtum corpus tradit senectuti.
[Une jeunesse qui s’est adonnée sans mesure aux plaisirs laisse un corps délabré en héritage à la vieillesse].