À Werner Rolfinck, le 6 septembre 1664
Note [2]
Contorsion de langage pour dire que l’administration du Jardin royal des plantes et des enseignements qu’on y prodiguait (botanique, chimie, anatomie, v. note [4], lettre 60) dépendaient non pas de la Faculté de médecine de Paris, mais du roi, par l’intermédiaire de son premier médecin (que Guy Patin comptait au nombre de ses concurrents, voire de ses ennemis).