À Johann Georg Volckamer, le 27 novembre 1664
Note [8]
« Ô race terrorisée par la crainte de la mort qui glace, pourquoi craindre le Styx, les ténèbres et autres noms vides de sens qui donnent de la matière aux poètes, etc. » (Ovide, Métamorphoses, livre xv, vers 153‑155).