À Georg Friedrich Lorenz, le 10 décembre 1664
Note [6]
« soldat fanfaron » (titre d’une pièce de Plaute, v. note [10], lettre 541).
V. notes [3], lettre 9, pour Jean Argentier (Giovanni Argenerio) et ses œuvres complètes, et [1], lettre 449, pour la trop grande « envie de draper et de mordre Galien », que lui reprochait Guy Patin.