À Heinrich Meibomius, le 16 septembre 1665
Note [3]
V. note [3], lettre 806, pour le prêtre guérisseur Gendron qu’on avait en vain appelé au chevet d’Anne d’Autriche. Guy Patin nous apprend ici qu’il avait été chirurgien.
Le passage en italique qui le présente est en français dans le manuscrit (avec Vauvre pour Voves).