À Sebastian Scheffer, le 17 décembre 1665
Note [3]
Guy Patin joignait à celle-ci sa lettre à Johann Peter Lotich, datée du même jour que la présente ; il en avait consacré la plus grande partie à le réconforter et conseiller pour les difficultés qu’il rencontrait à faire publier ses livres, dont le Satyricon de Pétrone (Francfort, 1629, v. note [83], lettre 150) que nul ne voulait et n’a jamais voulu rééditer, car il y manquait les fragment nouvellement découverts, publiés en 1664 (v. note [11], lettre 792).