À Georg Friedrich Lorenz, le 18 février 1666
Note [12]
« s’il respire l’air du jour ou s’il repose déjà au royaume des ombres » (Virgile, v. note [1], lettre de Charles Spon, datée du 6 avril 1657).
Melchior Polisius (Javer, Silésie 1600-Francfort-sur-l’Oder 1671), docteur en médecine de Padoue en 1628, professait la médecine à Francfort-sur-l’Oder depuis 1635. Il a laissé des thèses latines :