À Sebastian Scheffer, le 9 avril 1666

Note [1]

Succession de deux citations classiques latines :

Le nommé Kormann (Kormannus dans le manuscrit), porteur de la lettre mentionné dans sa première phrase, y apparaît pour la seule et unique fois dans la Correspondance.

Dans sa deuxième phrase, pour traduire de manière plus plausible le propos de Guy Patin, j’ai remplacé sed miror, nec indignor [et ne m’en indigne pas, mais m’en étonne] par nec miror, sed idignor [je ne m’en étonne guère, mais m’en indigne]. Au début de sa lettre du 17 décembre 1665, Patin avait demandé à Sebastien Scheffer s’il avait eu à payer le port de trois lettres qu’il lui avait envoyées, car le marchand à qui il les avait confiées lui avait promis de les délivrer sans frais.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Sebastian Scheffer, le 9 avril 1666, note 1.

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(Consulté le 19/05/2024)

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