À Johann Georg Volckamer, le 9 juillet 1666
Note [1]
J’ai considéré nihilum comme un malheureux lapsus de Guy Patin dans …nihilum debere me fateor [je reconnais ne les devoir en rien à…], et l’ai remplacé par nihil aliud quam [à rien d’autre que].
Dans sa dernière lettre à Johann Georg Volckamer, le 17 décembre 1665, Patin lui avait demandé de lui acheter à Nuremberg tout ce qu’il trouverait à vendre de thèses et d’opuscules académiques.