À Johann Rudolf Dinckel, le 1er février 1667
Note [2]
Boecler (tel qu’écrit dans le manuscrit) pouvait être l’érudit allemand Johann Heinrich Boeckler (Cronheim, Bavière 1611-Strasbourg 1672) : professeur de rhétorique puis d’histoire à Strasbourg, de 1637 à 1649, il était parti en Suède, à la demande de la reine Christine, pour enseigner la politique et la rhétorique, et assurer la charge d’historiographe de la Couronne. Revenu à Strasbourg en 1654, il avait repris sa chaire d’origine pour la faire rayonner jusqu’à sa mort. Il a laissé de nombreux ouvrages touchant à ses disciplines de prédilection et conseillé plusieurs princes de l’Empire.