Annexe : L’ultime procès de Théophraste Renaudot contre la Faculté de médecine de Paris, perdu le 1er mars 1644

Note [7]

Agir : « intenter quelque action en justice » (Furetière). Une fois enregistrés (avalisés) par une cour souveraine, les arrêts du Conseil privé du roi (v. note [7], lettre 137) étaient irrévocables.

Le Factum entrait ici dans un argumentaire de forme que venaient renforcer les protestations de bienfaisance émises par Renaudot ; mais l’ensemble allait moins bien disposer les juges de la Grand’Chambre que les raisons de fond développées dans le Mémoire de Guy Patin.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Annexe : L’ultime procès de Théophraste Renaudot contre la Faculté de médecine de Paris, perdu le 1er mars 1644, note 7.

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(Consulté le 28/04/2024)

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