Note [108]
La Déroute et l’Adieu des filles de joie de la ville et faubourgs de Paris. Avec leur nom, leur nombre, les particularités de leur prise et de leur emprisonnement et Requête à M.D.L.V. {a}
- Sans lieu ni nom, jouxte la copie à Paris, 1667, in‑12 de 33 pages.
« M.D.L.V. » est Mlle de La Vallière (v. note [12], lettre 735). Ce sont deux poèmes satiriques sur les prostituées de Paris avec ces deux vers à l’adresse de la maîtresse du roi :
« Nous vous reconnaissons pour notre impératrice ;
Montrez-vous digne enfin d’en être protectrice. »