Annexe : Le point d’honneur médical de Hugues ii de Salins (1697)
Note [10]
« À celui qui m’aura provoqué, je proclame qu’il ferait mieux de ne pas me toucher, car il pleurera, on le montrera du doigt par toute la ville » (Horace, Satires, livre ii, satire i, vers 45-46).