Note [22]
Le doyen entamait ici la relation des actes menant au doctorat et à la régence les quatre des sept licenciés du 18 juillet 1650 (v. note [16] des Actes de 1650‑1651) qui ne les avaient pas encore entièrement soutenus (v. notes [13], lettre 22, et [22] et [32] des mêmes Actes).
Michel Langlois, licencié, n’était pas apparenté à Florimond Langlois, le docteur qui l’interrogeait. L’alternative débattue lors de sa vespérie tenait en ces deux questions :